Julien Martre, cueilleur d'arôme
S’il a abandonné sans amertume mais sans regrets son boulot dans la viticulture c’est pour retrouver le contact avec la vraie nature, celle dont la richesse nous entoure, celle qui soigne quand on sait prélever le meilleur de ce qu’elle nous offre. Julien Martre a décidé de produire des huiles essentielles et d’en assurer la commercialisation sur les marchés. Mais avec une démarche plutôt originale, c’est qu’il ne cultive rien, il glane dans la nature, partout où sa serpe est autorisée à prélever lavande, genévrier ou laurier notamment. Il a créé, voici un an, sa société, Boémia, un nom choisi pas tout à fait par hasard du reste, en référence sans doute à cette région d’Europe centrale, ouverte, semi-nomade…